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il y a 7 ans
Arnaud aime les plans SM gay dur
La première fois que j'ai vu Arnaud, il était dans une position pour le moins inconfortable. Il avais la tête et les mains prises dans un carcan, les pieds dans un autre, il était totalement à poil et il se faisait fouetter très durement par un mec avec un harnais en cuir. C'était au Keller, il y a une dizaine d'années. Je ne savais pas alors que nous allions vivre pas mal d'aventures sexuelles ensemble.
C'était en mars 2000. Je m'en souviens très bien car j'allais fêter mon anniversaire une semaine ou deux plus tard avec des copains que je voyais rarement. A l'époque, je fréquentais un peu le milieu cuir parisien et, franchement, j'avais un certain succès. J'étais jeune par rapport à la moyenne et j'avais le look parfait pour ce genre de lieu, cheveux tondus à 3 mm, barbe naissante, corps naturel (je ne me rasais que quand on me le demandait alors qu'à l'époque c'était plutôt la mode) et surtout j'étais très décoincé. Ceux avec lesquels j'avais joué (ou qui m'avaient pratiqué) savaient que je pouvais être dominateur et même plutôt dirigiste en dépit de mon âge (j'avais 25 ans) mais aussi, dans d'autres circonstances, très soumis et même très maso. J'hésite un peu à vous raconter dans le détail des plans sm car j'ai un peu peur de vous choquer.
Ce soir-là, j'adoptais un look adapté au Keller. J'enfilai un tee shirt blanc, un blouson de moto et un pantalon en cuir noir coupe jean sans rien dessous. Je complétais le tout avec une paire de Caterpillar montantes noires (je n'avais pas de rangers et je trouve ça trop inconfortable) et je sautai dans le métro. Il était à peu près 22 heures lorsque je suis arrivé au Keller. Le barman m'a tout de suite payé un verre. Je ne me souviens plus ce que je buvais mais je me suis mis à l'aise. J'ai quitté mon blouson et mon tee shirt et j'ai commencé à déambuler torse nu dans la backroom. Très vite, j'ai été alerté par des bruits de coups de martinet et des gémissements qui les ponctuaient. Je me suis approché du carcan. Là, un jeune gars -vraiment jeune, la vingtaine tout au plus- était immobilisé totalement et un type vêtu d'un harnais et de chaps, la queue raide, le frappait à grand coups de martinet. Le garçon comptait : "un, maître, merci maître. Deux, maître, merci maître..." etc. Je me mis face à lui. Son visage exprimait la douleur. Il avait les larmes aux yeux. Un groupe de mecs les entouraient et faisaient des commentaires ou se branlaient. Je ne tardais pas à sortir ma queue aussi. Au bout d'une vingtaine de coups, le dominateur tendis le martinet à un autre mec et ça recommença. Je me caressais discrètement, en sniffant un peu de poppers de temps en temps. Au bout d'une cinquantaine de coups. Le garçon ferma ostensiblement l'un des poings ce qui était le signe qu'il voulait arrêter. Le dominateur proposa une pause et le libéra. Je remis mon sexe dans mon fut et montais au bar terminer mon verre. Le garçon, remis de ses émotions, monta derrière nous. Tout le monde y allait de son petit commentaire. Le dominateur, Gérard, si mes souvenirs sont bons, s'installa au bar. Sa queue avait repris son aspect normal et je remarquais qu'il portait un lourd cockring en métal. Il discutait avec ses copains en s'extasiant sur la performance d'Arnaud (c'était le prénom du jeune soumis).
Arnaud avait remis ses chaussures (des Van's) puis était remonté aussi. Il accepta un verre d'eau au bar. Je le regardai mieux. Il était assez menu, chatain, les cheveux courts, le corps totalement rasé, un tatouage qui partait de son aisselle et se terminait sur le haut de sa cuisse (un signe tribal), un piercing au nombril et un autre sur la langue. Il paraissait totalement exténué et j'ai appris, en écoutant les conversations qu'avant cela, il s'était fait défoncer par plusieurs queues. Il vint s'asseoir au bar, son corps marqué et rougi par les coups, presque déchiré par endroits, ses tétons rouge vif m'excitaient au plus haut point mais il ne semblait pas du tout faire attention à moi. Il avait posé sa tête contre le torse de son b o u r r e a u et souriait. Même avec la faible lumière, je remarquai ses pupilles dilatées par le poppers. Je trouvais sa performance tout à fait excitante et en plus il me plaisait bien. Je finis mon verre et résolus d'aller me balader encore dans la backroom mais, avant ça, il fallait que je vide ma vessie. Je me suis donc dirigé vers les urinoirs. On était en semaine, et il n'y avait qu'une dizaine de clients donc j'étais seul dans les toilettes lorsque j'ai entendu la porte grincer derrière moi. Arnaud, toujours nu, était entré et pissait dans la vespasienne à côté de la mienne. Il me regardait fixement. Je me suis dit que j'allais bander direct mais non. Je terminai et commençais à secouer un peu ma bite c'est alors qu'il plongea la tête dans l'urinoir et commença à lécher le bout de mon gland. "Tu vas pas tâcher un si beau pantalon". Me dit-il avec un clin d'oeil. Le contact de sa langue et de son piercing me firent bander aussitôt. Il se mit à genoux devant moi et me suça très efficacement. Je lui tenait la nuque, plus mes mains se crispaient plus il s'activait. Je ne m'étais jamais fait sucer par un mec avec la langue percée. C'était étrange mais excitant. Je le relevai et l'embrassai. Sa langue massait la mienne c'était très excitant. Je le bloquai contre le mur et me collait contre lui. Il bandait dur aussi. Je le retournai brutalement, galvanisé par le spectacle auquel j'avais assisté quelques minutes plus tôt. J'attrapai une capote dans la poche de mon pantalon et l'enfilai. Je lui mis un doigt. Son anus était encore graissé et dilaté, je n'ai eu aucune peine à entrer d'un coup. Il a crié. J'ai mis ma main sur sa hanche, l'ai f o r c é à se cambrer et j'ai commencé à le pilonner. Il avait du mal à se tenir au mur et, vu qu'il devait être déjà épuisé, j'étais obligé de le maintenir solidement.
Mes va et viens étaient intenses et brutaux, il gémissait. On entendait l'épouvantable musique techno et les rires des gars au bar pourtant ce moment bref et intense n'était que pour nous. J'ai senti que j'allais éjaculer et je me suis retiré. Je l'ai fait mettre à genoux, lui ai ordonné de se branler. Je voulais absolument qu'il éjacule avant moi et j'ai réussi en serrant sa tête contre ma cuisse. Il a joui sur mes pompes et j'ai tout lâché sur son visage. Nous nous sommes souri. C'était vraiment excitant. Je l'ai aidé à s'essuyer. Il a souri. "C'était vraiment super." Je lui ai offert un verre. Il m'a appris qu'il s'appelait donc Arnaud, qu'il avait 21 ans et qu'il faisait des études à la fac. Nous avons échangé nos numéros de téléphone et, pendant quelques temps nous nous sommes vus beaucoup, il me plaisait bien avec ses looks différents, skater percé le week end et garçon sage la semaine, tous les deux mais aussi pour des week ends sm privés ou en club. Arnaud est un fidèle lecteur de ce site, il nous dira j'espère, si je me suis souvenu de tout. En tout cas, je le salue bien et le remercie pour tous les moments de plaisir et d'orgasme que nous avons partagé.
Pendant toute l'année 2000 et une partie de l'année 2001, Arnaud et moi nous avons fait des plans plus ou moins SM, plus ou moins hards de manière très régulière. Toujours, il me demande de vous en raconter un ou deux. Dans celui-là, j'étais plus spectateur mas ça m'a excité au plus haut point. C'était un vendredi et j'avais envie d'un plan à plusieurs. Je proposai donc à Arnaud d'aller faire un tour au QG. C'est un "bar à bites" que j'aime bien car il est ouvert l'après-midi. Il faut savoir que lorsque l'on entre, on se désape et on mets nos fringues dans un sac en toile de jute avec un numéro. Le barman nous note le numéro sur le biceps au marqueur pour que nous puissions récupérer nos fringues. Inutile donc de faire des effets de sapes (cuir, jeans etc...) La seule chose que l'on garde, c'est nos pompes (je ne suis pas allé au QG depuis plusieurs années donc je ne sais pas si ça se passe toujours comme ça).
Bref, je demande à Arnaud de porter une paire de baskets Nike que j'aime bien parce qu'elles sont un peu montantes et un jockstrap. Nous arrivons vers 16 heures et le rituel commence. Ce qu'il faut expliquer c'est qu'Arnaud est soumis et même très maso. C'est lui qui m'a fait inviter à des soirées SM pour la première fois mais cela est une autre histoire. Nous nous déshabillons donc. Je commande deux bières comme si mon partenaire était mon soumis habituel. Le black derrière le bar nous marque le bras et nous sert. Il n'y a pas grand monde à cette heure-là et nous buvons nos verres sans trop discuter. J'ai autorisé Arnaud à garder son jock. Il faut que je vous décrive un peu Arnaud. Il est plutôt petit, musclé, il avait la petite vingtaine à l'époque et moi pas beaucoup plus. Il est assez poilu, les cheveux tondus très court (mon petit il faudra que tu me dises si tu es toujours comme ça !).
Quelques mecs tournent un peu montent et descendent l'escalier qui mène aux chiottes et à la backroom mais aucun ne retient notre attention. Nous ne sommes de toute manière pas pressés. Au bout d'un quart d'heure à peu près un grand gars entre dans le bar. Quand je dis grand, je suis au dessous de la vérité. Je dirai 190 peut-être plus. Costaud, musclé, habillé d'une combinaison de moto (il y en a qui savent ménager leurs effets). Il a la trentaine je pense mais il fait plus. Le visage taillé à la hache, un bouc, le reste du visage mal rasé, les cheveux très courts, légèrement dégarni. Une f o r c e de la nature. Vous savez le genre de mec pas beau du tout mais chez qui on devine le bon coup. Il se déshabille entièrement, y compris ses bottes de moto qu'il troque contre une paire de rangers qu'il avait apporté dans un sac à dos. Coup d'oeil d'Arnaud, je vois qu'il lui plait beaucoup. Pas un mot échangé. Il est relativement bien monté, un cockring en cuir autour du sexe. Il nous regarde fixement et commande un verre qu'il laisse négligemment sur le comptoir. Nouveau regard échangé et il descend. Je prends Arnaud par le cou et je le coince contre moi avec mon bras pour lui faire descendre l'escalier. Le barman me chuchote à l'oreille "Attention, il est hard". Nous descendons tout de même.
Il fait sombre dans la backroom du QG. La musique techno est un peu trop forte. Les mecs tournent. Pas de trace de notre géant. En fait, il est devant un urinoir. Je me retourne et je pousse Arnaud dans les chiottes. Je me mets à essayer de pisser dans un second urinoir. Arnaud est debout, planté là. J'échange un sourire avec le géant. "Il veut jouer ?" me demande-t-il. J'acquiesce. Il s'avance vers Arnaud, le prend par la nuque et l'oblige à se mettre à genoux. Il lui appuie la tête au fond de l'urinoir dans lequel il vient de pisser et le gifle (assez fort je dois dire). Ca m'a impressionné la manière dont mon partenaire a ramené son visage vers son b o u r r e a u pour en prendre une autre. Pas déçu car l'autre le gifle encore plus fort le projetant par terre sur le carrelage des chiottes. Je suis sidéré. Je connais le masochisme d'Arnaud mais là, ça commence direct et v i o l emment, pas de scénario, de la b r u t a l i t é pure. Il me fait signe de m'aider à le trainer dans le couloir. Nous le faisons ramper à poil sur le sol. Je dois dire que je bandais comme un malade.
Le grand type le prend par la nuque et le relève. Je sens l'excitation et la peur. Arnaud est en sueur. Le grand gars le fait s'accroupir puis lui met des doigts dans la bouche en chuchotant "ouvre ta gueule". Arnaud s'exécute. La bite du mec entre jusqu'au fond de sa gorge d'un coup. Il le prend par la nuque et fait de v i o l ents va et viens dans sa bouche. Arnaud se débat un peu mais en vain. L'autre a de la poigne. Il le relève, le retourne et le fait pencher sur une espère de rambarde qui se trouve dans le couloir de la backroom. "Tu veux te faire baiser ?". Je lui tends une capote. Il crache au visage de mon partenaire, une fois, deux fois. Le penche solidement et enfile la capote. Il s'accroupit, lui crache dans le cul et commence à le frapper sur les fesses avec ses grosses paluches. Il lui met un doigt. Arnaud est tremblant mais n'a pas l'intention d'arrêter. Il est un peu à bout de f o r c e et se laisse tomber sur le sol. Le grand tente de le relever du bout de sa rangers. En vain. Arnaud me confiera plus tard que ses jambes ne le soutenait pas. Il lui donne un ou deux coups de pieds et me fait signe de l'aider à le relever. Nous le remettons en position. Il transpire tellement que j'ai du mal à l'attr a p e r. Le gars lui recrache dans le cul. Arnaud ne craint pas grand chose mais je le sens tendu. Il se prend encore un crachat dans la gueule et une gifle. Il lui assène aussi un coup de poing entre les omoplates et un autre sur le rein pour le faire cambrer et entre d'un coup en lui.
Tous les autres regardent. Arnaud a crié quand le mec est entré en lui. "Tu veux arrêter ?" "Non". Le mec le pilonne durement. Je suis obligé de le maintenir en le tenant dans mes bras car sinon il s'effondrerait. Je n'ai pas peur de grand chose mais là je suis impressionné. Ce petit mec de 22 ou 23 ans qui encaisse comme ça. Le gars le pilonne en lui claquant les fesses et le dos (il ne faisait pas semblant). Soudain, il se retire. Jette la capote et fait mettre sa victime à genoux. Il lui éjacule sur le visage. Arnaud s'effondre par terre. Il lui appuie sur le dos avec son pied et lui crache dessus. Ensuite, il me sourit, me tape dans la main et remonte.
J'aide Arnaud à se relever. "Ca va ?" "Oui trop fort !". Je l'essuie du mieux que je peux, l'embrasse et nous remontons finir notre bière. Le géant est au bar en train de finir la sienne. Il nous sourit. Se rhabille et s'en va. Arnaud, hors souffle, accepte que je dorme chez lui. Le soir, après avoir mangé et parlé de ce qui c'est passé, nous nous déshabillons et je me couche près de lui. Son corps est un peu tuméfié. Nous étions juste partenaires de sexe, nous nous connaissions peu et pourtant, je suis impressionné par lui et le lui dis.
STANLYON
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